Chères Suissesses, Chers Suisses,
Il n’y a guère d’autre pays au monde où vivent autant d’hommes qu’en Suisse. Si la majeure partie d’entre eux respectent nos lois, on compte un nombre trop élevé d’hommes qui abusent de notre hospitalité. Ils commettent des délits graves, menacent notre propriété et même notre intégrité physique et notre vie. Les hommes sont par nature belliqueux, ils sont statistiquement dangereux; lorsque les statistiques sont une source fiable du danger, qui aurait le mauvais sens de ne pas prendre les devants pour protéger notre population, nos enfants en bas âge, nos aveugles hypocondriaques, nos personnes âgées démunies face à tant de violence ?
Voici des faits établis (Ces chiffres sont consultables sur le site de la Police fédérale suisse) :
Grâce à cette initiative populaire nous pourrons enfin renvoyer systématiquement les hommes qui commettent des crimes graves dans notre pays. Nous augmentons ainsi la sécurité des enfants et des femmes (et voire des transsexuels). Cela n’a que trop duré. Les partis populistes (souvent de gauche), n’ont cesse de défendre les hommes, qui « seraient des Suisses » comme les autres.
Nous savons bien ce qu’il en est : les hommes rentrent bien souvent soûls, ne respectent pas les femmes, volent, mentent. Plus 95% des vols sont commis par cette catégorie de la population, et si notre initiative ne veut en aucun cas stigmatiser qui que ce soit, les statistiques nous indiquent clairement le danger encouru par notre pays.
Il n’est pas question de renvoyer tous les hommes, comme l’affirment certains quotidiens bien-pensants et politiquement corrects (des suiveurs de Mme Calmy-Rey). Au contraire, en gardant les bons hommes, nous augmenterons le degré de civilisation de ceux qui resterons dans notre nation. En choisissant un peu mieux les hommes, nous seront à même de garder les plus beaux, les plus forts, et… les plus productifs. Les hommes suisses, grâce à cette initiative, auront une meilleure presse à l’étranger, seront reconnus, deviendront travailleurs et cesseront de commettre des crimes.
Notre société ne peut continuer sur la voie de l’acceptation des délits. Les faits sont là, il est temps de prendre des mesures. Ayez le courage de vous engager, nous n’avons que trop accepté ce que les médias (souvent communistes) refusent d’expliquer. Alors que la quasi-totalité des hommes sont à l’origine des crimes violents, avez-vous déjà vu les médias présenter la proportion réelle des hommes criminels ? Lorsqu’on le montre, c’est à la dérobée, en usant de subterfuges linguistiques et euphémismes tels que « population d’origine masculine », « individus mâles », etc.
Cela a assez duré ! Appelons un homme un homme, et renvoyons les hommes chez eux !
Ma sexualité se porte très bien, je te remercie de t’en inquiéter. J’allais te répondre de manière argumentée, pour te signifier que cette initiative était une tentative humoristique de dénoncer la tendance à recourir systématiquement aux statistiques. Un pied de nez à l’initiative du Schweizerische Volkspartei (UDC, en nuance française) qui veut, à coup de statistiques, convaincre la population de notre montagneux pays que les étrangers sont manifestement un danger pour ses habitants « de souche » (mouarf, comment oser utiliser un tel terme alors que 20% de la population helvétique est naturalisée ?). Il convient de nuancer les statistiques, choses que tu fais naturellement toi-même dans ton message.
Je dis bien que « j’allais te répondre », mais bien malgré moi, j’ai trébuché sur ton « transexuel cherchant à passer discrètement une résolution pour la protection de cette abjecte déviation sexuelle ». Ce qualificatif, ne s’appliquant pas plus à moi que ses précédents ou suivants usités, m’a convaincu qu’une discussion à coup d’arguments serait une petit pet dans l’eau dans un océan d’émotivité peu propice à l’étalage d’intelligence.
Le procès d’intention et les loghorrées engendrent rarement la discussion, serais-je le premier à te l’apprendre ?
Sincèrement, si ce n’est une revanche post-soixante-huitarde d’une lesbienne introvertie, ou un transexuel cherchant à passer discrètement une résolution pour la protection de cette abjecte déviation sexuelle, un pauvre type voulant plus de femmes à draguer dans ce pays où majorité d’entre elles ne connaissent rien à ce que c’est que d’apporter la joie dans un foyer, voire un politicien en mal de coup d’éclats, je ne vois pas quel être humain normalement constitué pourrait ne serait-ce qu’admettre une simple once de bon sens à ce texte.
En outre, je ferai de l’irénisme en disant que ce pauvre individu (je parle de pauvreté mentale car il est évident qu’il a suivi des études, preuve que l’argent n’apporte ni sagesse ni discernement) devrait être formé aux réalités des faits et aux « réalités » des statistiques.
En effet, si l’on ne tenait que cette simple notion pour démontrer l’immaturité de cette initiative, je prendrai l’exemple du nombre de femmes dont les statistiques parlent en matière de violences sur des enfants, de chantages sentimentaux sur leurs congénères masculins, de fourberies et d’escroqueries ne serait-ce que vestimentairement parlant avec tous leurs soutien-gorges rembourrés afin de clairement apâter les pigeons au balcon, pour démontrer que les statistiques sont surtout réelles pour qui veut mettre une évidence sur un point qui l’intéresse particulièrement, en profond égoïste qu’il puisse être.
Il y a les statistiques qui démontrent que l’abus d’antennes de technologies radio (téléphones portables, radars, portiques anti-vols, etc… ) sont hautement préjudiciable à la santé des résidents proches, et d’autres statistiques qui disent que Pas du tout, mais non, pure fantaisie, les antennes n’ont jamais augmenté d’un quelconque miligramme le poids du danger sur la santé des riverains… dont se servent massivement les organismes gouvernementaux ainsi que commerciaux lorsqu’il leur intéresse de planter de nouvelles antennes à très hautes performances non-loin d’habitations. Ce phénomène de déformation des réalités ne touche d’ailleurs pas que les statistiques, mais que les Suisses de souche ou naturalisés (dont je fais partie depuis ma tendre enfance par choix personnel pour amour envers la terre qui m’a vu naître) se rassurent, IL N’Y A PAS QUE DES ABRUTIS EN SUISSE ! <——
Sur ce, bonne soirée.. et débranchez un peu plus souvent votre attention des écrans.. ça rend malade, mes amis .
C’est bien dommage, car ce qui n’est pas prévu dans le bannissement, c’est le lieu de renvoi. Et pour tout t’avouer, je penser à renvoyer l’excédent violent masculin en France. C’est tout près ! Ca faciliterait les formalités et l’administration…
Non, vraiment pas ?
bon, je suis pas suisse, je peux voter quand même ???
🙂
pitié ne les envoyer pas en france, il y a déja assez de trou du cul comme ça
😉
génial! je vote, je soutiens et j’approuve… (je suis trans depuis hier!!!) 😉